Les certifications ont de plus en plus leur importance aux yeux des recruteurs. Elles favorisent les candidatures et augmentent leur employabilité pour diverses raisons. Aurait-on donc intérêt à les passer pour sortir du lot au moment de la recherche d’emploi ?
Zoom sur l’intérêt des tests
Les formations et les diplômes restent des références pour les professionnels du recrutement, mais ils ne semblent plus suffire pour sélectionner les bons candidats lors d’un entretien. Les tests permettent en effet de valider des acquis et des compétences jusqu’ici totalement ignorés par les enseignements classiques.
La maîtrise de l’informatique, de la bureautique ou de la langue n’apparaît pas comme des compétences à part entière sauf si l’on a effectué une formation spécifique. Désormais, il est possible de valoriser ces capacités en passant par la certification qui peut se préparer grâce à des sites d’entraînement en ligne.
Le simple fait de mentionner un test sur un CV peut définitivement booster une candidature (cliquer ici pour en savoir plus).
Quelques tests qui cartonnent
Les CV reflètent les différentes caractéristiques d’un profil. Mais les tests s’appuient sur des notes et des résultats vérifiables. Grâce à eux, les compétences ne sont plus subjectives. L’employeur sait d’emblée les aptitudes réelles de son nouvel embauché.
En exemple, la majorité des candidats qui postulent pour un poste de comptable auront forcément fait des études de comptabilité. Chaque CV affichera au moins un diplôme dans la branche souhaitée. Avoir obtenu le TAGE MAGE pourrait ainsi faire sérieusement pencher la balance. Selon le site Tagemajor.com, ce test est passé par plus de 20 000 personnes à travers le monde chaque année.
Souvent, il ne reste plus que les compétences particulières pour aider à la prise de décision. En confirmant ces aptitudes à l’orthographe avec un certificat Voltaire, un candidat qui postule pour un poste en journalisme ou rédaction peut aisément se démarquer. Tout l’intérêt des certificats c’est qu’ils ne sont pas forcément restreints ou limités à la branche de prédilection.
En effet, on peut vouloir être chef comptable d’une PME tout en ayant des qualifications en langue vivante. On peut également être journaliste spécialisé dans l’actualité sportive tout en ayant un certificat « Finances » ou CFA. Il ne faut pas confondre spécialisation et certification. Les deux peuvent se compléter sans que le premier ne soit forcément la conséquence logique du second.
